Hello petits pois

Je vous retrouve aujourd'hui pour parler d'un film que j'ai pu voir pendant la période d'Halloween :

Mister Babadook

Film de genre épouvante horreur, réalisé en 2014 par Jennifer Kent. L'histoire raconte celle d'un petit garçon capricieux vivant seul avec sa mère depuis que leur père est décédé suite à un accident de voiture le jour de la naissance de ce garçon. Amelia la mère, ne s'est toujours pas remise du choc de cette nuit et n'arrive pas à aimer son fils, bien qu'elle essaye de toute faire pour l'élever du mieux qu'elle peut avec ses faibles moyens. Un jour, Samuel (le petit) trouve un vieux livre chez eux qui se nomme "Mister Babadook" et veut qu'elle lui lise avant de s'endormir. Sauf qu'au fil de la lecture, l'histoire devient de plus en plus oppressante, violente. Samuel pense alors que le Babadook vit chez eux depuis qu'ils ont ouvert le livre. Le prenant pour fou, sa mère est désespérée. Mais si Samuel avait raison ?...

Note : 4,5/10

Mon avis :

Je n'ai pas aimé ce film. Qui se veut épouvante et est très mal dirigé. Il est moyennement fichu et même si les acteurs jouent bien, je ne peux pas me les encadrer. J'ai fait la découverte de ce film assez tard mais ne l'apprécie pas du tout. Des incohérences (bien que minimes) se glissent dans le film. Et des situations invraisemblables (le gamin qui ne sait même pas ouvrir une porte arrive quand même à attacher sa mère; D AILLEURS le comportement de cette mère à cet instant...désolé mais non). Les personnages autres que la mère et le gamin sont pas du tout exploités, et le père est oublié car on le présente de façon BEAUCOUP TROP simple et énigmatique. La créature est malgré tout assez bien pensé bien que vue et revue (le livre nous en apprend un peu dessus) mais pas assez exploitée. Et juste...la fin ? Nan mais on en parle de la fin ? Bref, je mets tout de même 4 car les plans et l'idée ne sont pas dégueues. Et le virgule 5 c'est parce que bien que les insultes de la mère soient une scène totalement pourrie, et débile, (on aurait pu montrer qu'elle en avait marre de bien d'autres façons au lieu de choisir la facilité vulgaire et bête) elle est quand même drôle.